
L’école tire son épingle du jeu dans les domaines de la satisfaction étudiante ; elle place également 30% de ses diplômés à l’étranger, ce qui gonfle la moyenne des salaires pour dépasser les 43 000€ annuels trois ans après la sortie ! Elle pofite également de l’excellente réputation de l’université de Strasbourg dont elle dépend.
Si l’école compte peu d’anciens élèves sur Linkedin, très peu de création d’entreprises par les élèves et peu d’alternants, elle peut en revanche compter sur une ouverture internationale correcte, avec 29% d’étudiants en échange universitaire, mais 48% de doubles-diplômés.
Enfin, avec son tarif abordable et 33% de boursiers parmi ses élèves, elle s’avère très ouverte socialement, un vrai atout dans les classements.
L’Étudiant place cette année l’EM Strasbourg à la 18è place de son classement des écoles de commerce. Elle possède des atouts solides, profitant notamment de l’excellente réputation de son université-mère, l’Université de Strasbourg, reconnue internationalement. Elle possède également les trois labels internationaux AACSB, EPAS et AMBA. Enfin, elle met en valeur le développement personnel et professionnel de ses élèves, qui est au centre de ses préoccupations.
Si l’école semble moins proche que d’autres du monde de l’entreprise (avec notamment : peu d’anciens élèves sur Linkedin, très peu de création d’entreprises par les élèves et peu d’alternants), elle possède cependant une ouverture internationale correcte, avec 29% d’étudiants en échange universitaire et 48% de doubles-diplômés.
Challenges a fait le choix de placer l’EM Strasbourg à la 19è place de son palmarès 2022 des écoles de commerce. Tout comme d’autres écoles du top 20, sa principale difficulté est d’attirer les élèves. Si l’école met l’accent sur sa proximité avec l’Allemagne, sa jeunesse et son faible budget la pénalisent.
Cependant, avec un tarif abordable pour un diplôme reconnu à l’international, qui encourage également les boursiers à présenter l’école (33% de boursiers dans ses effectifs), l’école fait preuve d’une ouverture et d’une diversité remarquables.
Le Figaro place l’EM Strasbourg à la 15è place de son classement 2022 des écoles de commerce. L’école se montre particulièrement performante dans le domaine de l’excellence académique : près de 75% de ses professeurs sont titulaires d’un doctorat obtenu dans une université d’excellence.
Elle peine cependant à s’imposer dans le domaine de l’international, malgré des partenariats avec l’University of Texas, l’University of San Diego ou encore la Ghent University ainsi que des doubles-diplômes avec l’University of Economics Ho Chi Minh City, la Technische Üniversität Dresden ou la University of Western Australia.
Sa relation avec les entreprises est également moyennement notée par le Figaro.
Cette année, Le Parisien place l’EM Strasbourg à la 19è place de son classement 2022 des écoles de commerce. Le Parisien utilise 15 critères différents pour départager les écoles. On y retrouve des catégories classiques telles que l’innovation, l’attractivité et l’ouverture sociale mais également des critères uniques comme les infrastructures ou le digital (politique numérique, nombre de followers sur les réseaux sociaux, diplômés d’une filière numérique).
Son atout principal est l’obtention de labels internationaux, garantie de son excellence académique et d’une réputation solide. Ses notes dans les autres domaines sont très équilibrées, avec la moyenne dans des domaines comme l’ouverture sociale, les infrastructures, l’excellence académique, ses relations avec l’international et l’entrepreneuriat.
Mais malgré cela, l’école peine à rattraper la moyenne du top 17 dans certains domaines (l’ouverture sociale, l’excellence académique et les relations à l’internationale). Cependant, la satisfaction des diplômés reste parmi l’une des plus élevées.
En deux ans, l’EM Strasbourg a perdu trois places au classement des écoles de commerce présenté par Le Point. Plusieurs facteurs peuvent expliquer ces difficultés.
Tout d’abord, comme cela a déjà été souligné par les autres médias, l’EM Strasbourg peine à encourager l’entrepreneuriat de ses élèves. En trois ans, seules 7 entreprises ont été créées dans le cadre de l’école, un score particulièrement bas ! Le faible nombre d’anciens sur Linkedin, relativement aux autres écoles, est également un facteur qui souligne un réseau plus faible. Enfin, dernier point de difficulté : le nombre d’étudiants en échange universitaire ou en double-diplôme à l’étranger reste faible.
Cependant, l’école tire son épingle du jeu dans les domaines de la satisfaction étudiante ; elle place également 30% de ses diplômés à l’étranger, ce qui gonfle la moyenne des salaires pour dépasser les 43 000€ annuels trois ans après la sortie !
La Finance, la Banque et l’Assurance sont les débouchés plébiscités par les élèves (à 24%), suivis de l’audit/conseil.